Former autrement

Ce que je défends, ce que je propose

J’ai fait un choix : ne pas suivre les modes, mais revenir à l’essentiel.
Former, ce n’est pas empiler des contenus, coller des outils ou faire semblant d’innover.


C’est concevoir, avec exigence, des dispositifs ajustés, efficaces et durables.

C’est un engagement. Celui d’une ingénierie pédagogique sur mesure, responsable, ancrée dans la réalité des apprenants et des organisations.

Et parce que “former autrement” ne se décrète pas, je partage ici mes convictions, mes partis pris… et les questions que je veux continuer à (me) poser.

1. Ce que je défends

Concevoir un dispositif, pas une “formation”.


Former, ce n’est pas “animer un moment” ou “livrer un contenu”.
C’est penser un dispositif cohérent : objectifs, méthodes, activités, évaluations… pour un contexte, un public et des enjeux précis.


Je défends une approche systémique, qui tient compte du terrain, des usages, des contraintes, et vise des résultats durables.
Pas de formation sans finalité. Pas de dispositif sans évaluation.

La formation sur mesure, pas le prêt-à-porter pédagogique.


Je crois au sur-mesure raisonné, pas au “copier-coller” d’outils ou aux kits standardisés.
Chaque besoin mérite une analyse rigoureuse, chaque projet appelle une réponse adaptée.
Cela demande du temps, de l’écoute, du dialogue. Mais c’est le prix de la pertinence et de l’impact.

  • Une posture critique face aux outils.
  • L’outil n’est jamais la solution en soi.

Qu’il s’agisse d’IA, de plateformes ou de simulateurs, je n’utilise que des outils au service des intentions pédagogiques.
Je refuse de confondre innovation et nouveauté, effet de mode et réelle valeur ajoutée.

2. Mes partis pris pédagogiques

Hybrider sans subir


Je choisis la modalité en conscience : présentiel, distanciel, hybride… Chaque format a ses forces et ses limites.
Je refuse les slogans “100 % digital” ou “tout distanciel” dictés par la mode ou la facilité.
Je construis des parcours où la modalité sert les objectifs, le rythme et les publics.

Ancrer durablement, pas seulement transmettre


Former, ce n’est pas transmettre, c’est ancrer.
Je crée des conditions pour que l’apprentissage se fasse, se mémorise et se réutilise.
J’intègre systématiquement des activités d’appropriation, des évaluations formatives, des dispositifs de mémorisation.

Accompagner les formateurs, ne pas les laisser seuls face au changement


Les formateurs sont les premiers leviers de réussite.
Je les accompagne dans leurs postures, leurs pratiques, leur montée en compétence.
Pas en imposant des outils ou des recettes, mais en construisant avec eux.

Refuser le gadget, assumer le sobre


Je défends une approche frugale et efficace.
Si un outil ou une méthode ne sert ni l’apprentissage, ni l’engagement, ni la performance, je ne l’utilise pas.
Je préfère la cohérence à l’effet waouh”. Former, ce n’est pas faire du show, c’est viser un impact réel.

3. L’ère des outils : opportunité ou piège ?

Ni technophobe, ni techno-enthousiaste
Je refuse le rejet systématique des technologies comme l’enthousiasme naïf devant chaque nouveauté.
L’outil n’est ni un ennemi, ni une solution magique. Il est un moyen, à condition d’être utilisé avec discernement.

L’IA, un levier… à condition de savoir pourquoi


L’intelligence artificielle offre des possibilités réelles. Mais sans intention pédagogique, elle reste un gadget, voire une illusion.
Je la considère comme un amplificateur potentiel, jamais comme un substitut à la réflexion pédagogique.
Je ne promets pas une “révolution pédagogique par l’IA” — je pose une seule vraie question :
À quoi sert-elle vraiment, pour qui, et avec quels effets ?

L’éthique et le cadre d’usage avant la course aux tendances


Avant d’adopter un outil, je me pose trois questions :

  • Respecte-t-il les données des apprenants et des organisations ?
  • Est-il aligné avec mes valeurs professionnelles : transparence, accompagnement, autonomie ?
  • Sert-il l’apprentissage ou juste l’effet vitrine ?

4. Ce que je propose

Des dispositifs, pas des formations “catalogue”
Je ne vends pas des formations toutes faites.
Je conçois des dispositifs d’accompagnement sur mesure, basés sur :

  • Une analyse fine des besoins, des enjeux, des publics
  • Un cadre pédagogique clair, ajusté aux réalités du terrain
  • Des modalités cohérentes, qu’elles soient présentielles, distancielles, hybrides ou outillées

Des méthodologies éprouvées, pas des buzzwords.
Je m’appuie sur des méthodes solides, validées par la recherche et le terrain :

  • Analyse des besoins et cadrage pédagogique
  • Ingénierie de dispositifs
  • Évaluation des acquis et de l’impact
  • Accompagnement des équipes pédagogiques

Je m’adapte. Je ne calque pas mes pratiques sur les tendances du moment.

Ce que je ne fais pas — Et pourquoi

  • Je ne vends pas d’outils “magiques” sans accompagnement
  • Je ne promets pas des transformations pédagogiques instantanées
  • Je ne prétends pas que l’IA va remplacer la pédagogie
  • Je ne conçois pas des dispositifs standardisés à la chaîne

Un accompagnement responsable, c’est aussi dire ce que je refuse de faire.

5. Pour une ingénierie pédagogique responsable

Je n’écris pas ce texte pour “réenchanter la formation” ou lancer un nouveau concept marketing.
Je l’écris pour rappeler une évidence :

Former, c’est penser un dispositif efficace, réaliste et éthique.
Concevoir, c’est dialoguer avec le terrain, les équipes, les formateurs.
Accompagner, c’est préférer la rigueur du sur-mesure au confort du prêt-à-porter.

Dans un monde saturé d’outils et de discours, j’assume ce choix :

  • La responsabilité avant la tendance.
  • La pédagogie avant la technologie.
  • L’humain avant le buzz.

Qui je suis

Je suis un concepteur de dispositifs de formation.
Un professionnel convaincu que former, ce n’est pas animer ni vendre du contenu, mais accompagner les organisations, les équipes, les formateurs dans la création de solutions cohérentes, réalistes, efficaces.

Je travaille avec celles et ceux qui veulent :

  • Être utiles
  • Concevoir des dispositifs qui tiennent la route, pas juste qui font joli
  • Oser questionner leurs pratiques plutôt que chercher des raccourcis
  • Transmettre un savoir
  • Accompagner les apprenant.e.s dans leur montée en compétence

Mon métier, c’est l’ingénierie pédagogique responsable.

Et si former, ce n’était pas animer un moment, livrer un contenu ou suivre la dernière tendance technologique ?
Et si la véritable ingénierie pédagogique consistait à concevoir des dispositifs réalistes, exigeants, pensés pour un terrain, un public, un objectif ?

Mais : 

  • Former avec exigence, loin des effets de mode
  • Concevoir des dispositifs sur mesure, pas des formations standardisées
  • Accompagner les formateurs plutôt que leur imposer des outils
  • Intégrer les technologies, y compris l’IA, avec discernement et sens critique
  • Centrer la réflexion sur l’apprenant.e

Un engagement pour une ingénierie pédagogique responsable, rigoureuse, ancrée dans la réalité des organisations et des apprenant.e.s.

Si vous cherchez un partenaire capable de questionner, s’interroger avant de conseiller, d’accompagner avant de livrer, contactez-moi.

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